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Accueil > Projets intersites> Axe Environnement > L'environnement comme objet interdisciplinaire | ![]() |
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Groupe « L'environnement comme objet interdisciplinaire » Contexte scientifique et objectifs Depuis une trentaine d'années au moins, le thème de l'environnement s'est développé comme un objet de recherche porteur et original. Ce développement, exponentiel au sein des sciences de la vie et de l'univers (SVU), fut d'abord plus timoré au sein des sciences de l'homme et de la société (SHS). Si, pour les SVU, l'environnement constitue essentiellement une reformulation de questions plus anciennes à la lumière de préoccupations contemporaines et de concepts nouveaux à forte portée scientifique, il nécessite par contre pour les SHS un repositionnement épistémologique, parfois difficile à accomplir [TISS 93a]. Une difficulté inhérente à ce repositionnement épistémologique tient principalement au caractère intrinsèquement interdisciplinaire de l'environnement. Cet objet d'étude bouscule en effet les clivages disciplinaires nés des Lumières et qui marquent encore l'organisation de la recherche aux niveaux national et international. Il en est de même pour d'autres objets centraux en géographie, comme le territoire ou le paysage, d'ailleurs non disjoints de l'environnement. Cela rappelle aux chercheurs que les découpages disciplinaires sont des artefacts permettant d'ordonner le savoir et sa production. Et lorsque les différentes disciplines sont amenées à se rapprocher pour les besoins de l'analyse, les projets de pluridisciplinarité, d'interdisciplinarité voire même de transdisciplinarité sont parfois noircis par la résurgence de veilles rancoeurs, nourries par les incompréhensions lexicale, méthodologique et épistémologique, comme par la hiérarchisation implicite des savoirs, bref par cette « guerre des sciences » analysée par Isabelle Stengers [STE 93]. Et pourtant, malgré ces difficultés, des recherches interdisciplinaires ont régulièrement vu le jour depuis plusieurs décennies, apportant leur pierre à l'édification d'une construction scientifique. Ce groupe de travail de l'UMR ESPACE a pour objectif de fournir une contribution active à la construction et la consolidation de cet édifice : l'environnement comme objet interdisciplinaire. Les réflexions et expériences existantes dans le domaine se sont particulièrement concentrées sur le dialogue entre Sciences de la Vie et Sciences de l'Homme. En France, la revue Nature Sciences et Société , rare sinon unique, revue interdisciplinaire dans le domaine de l'environnement, se fait l'écho de ces réflexions depuis 1993. Plus récemment, en 2000, VertigO , revue électronique francophone en sciences de l'environnement a été créée dans le même esprit. Ce rapprochement SVU/SHS impulsé par le développement de l'environnement comme objet d'étude est l'un des plus « spectaculaires » tant il traverse d'épaisses frontières épistémologiques. Mais il n'est pas le seul. D'autres, en apparence plus évidents, ont rencontré tout autant de difficultés. Au sein des SHS, sociologues, historiens, anthropologues, géographes, économistes, psychologues ont dû (ré)apprendre à travailler ensemble autour d'un objet d'étude nouveau. La géographie participe bien sûr à cette construction interdisciplinaire [TIS 93b]. Sa tache est double. Elle est non seulement amenée à se rapprocher des autres disciplines, mais se trouve aussi face à ses propres divisions internes qui tendent à traverser la scission implicite « sciences dures/sciences molles » du fait de la dichotomie existant entre géographie physique et géographie humaine, entre le naturel et l'humain. « Que la géographie physique repose sur le rejet de l'humain explique l'échec d'une évolution qui a pourtant atteint des sciences naturelles : à la notion de milieu naturel, ce cadre préexistant dans lequel l'homme est posé, s'est peu à peu substituée la notion d'environnement, qui part du social et dans laquelle la distinction entre le naturel, l'humain et le social n'est ni nécessaire, ni utile. La géographie est une des disciplines qui a du mal à suivre cette évolution» [CHA 96]. Chaque discipline, par ses problématiques, ses centres d'intérêt, ses démarches et ses modèles d'intelligibilité contribue à la construction du savoir sur l'environnement. Mais ces connaissances coexistent ou se cumulent sans pour autant s'ajuster sur un fond épistémique commun [AUG 95], le même constat peut être fait à propos du développement durable. Par ailleurs, la construction de ce savoir n'est pas indépendante des pressions politiques et sociales actuelles qui incitent le chercheur à affiner la connaissance dans certains domaines plutôt que d'autres. Ainsi, la demande actuelle se porte sur les relations environnement/santé. Les financements des programmes de recherche s'intéressent à l'environnement quand il est porteur de risques et quand il devient nuisance. La littérature existante sur la question de l'interdisciplinarité, en général et face à la question environnementale tend à pouvoir être divisée en deux grandes catégories. Dans la revue NSS , notamment, se côtoient des articles théoriques proposant des réflexions épistémologiques sur les heurs et malheurs de l'interdisciplinarité et des textes présentant des résultats concrets de recherches interdisciplinaires s'attardant peu sur ses mêmes considérations épistémologiques. Ce groupe de travail d'Espace propose de développer des liens entre ces deux approches relatives à l'interdisciplinarité, en mettant l'accent sur l'indispensable aller-retour entre théorie et expériences de terrains, dans une perspective d' épistémologie pratique , pour reprendre ici la formule de J.C. Gardin [GAR 87]. En liant plus étroitement réflexions épistémologiques et expériences de terrain, il s'agit de participer à la construction de cadres théoriques et d'outils méthodologiques permettant de développer et de pérenniser l'analyse interdisciplinaire dans le domaine de l'environnement. Croiser les regards disciplinaires sur les problématiques, les sensibilités environnementales et les démarches constituera la phase préalable à la confrontation dialectique entre la connaissance interdisciplinaire et la réflexion épistémologique. Plusieurs entrées seront retenues parmi lesquelles les questions relatives aux échelles, au matériel et immatériel, au mesurable et non mesurable, aux représentations, au potentiel intégrateur de l'entrée territoriale, commune à tous les participants.
Une expérience reconnue dans le domaine L'UMR ESPACE fait partie des équipes qui ont pleinement investi la problématique environnementale. Dans les années 70, des géographes appartenant aux équipes constitutives d'ESPACE ont été parmi les premiers à engager une réflexion théorique sur le concept d'environnement [DAU 79, 96]. Les échanges et débats menés au sein du Groupe Dupont ainsi que l'organisation, en 1996, d'un Géopoint sur « Espace et nature dans la géographie aujourd'hui » ont contribué à développer une vision globale et systémique des inter-relations Nature-Société. L'adhésion à la démarche systémique a permis de considérer très tôt l'environnement comme un tout dont la compréhension du fonctionnement repose sur la recherche des inter-relations du matériel et du social et se nourrit de l'interdisciplinarité [VOI, 96, 03], [DAG 97, 98]. Depuis une vingtaine d'années, les recherches appliquées sur des questions environnementales, dans l'UMR ESPACE en général, et dans l'équipe de Nice, en particulier, ont fait naître des collaborations scientifiques nouvelles avec des historiens, des écologues, des médecins [GUI 91, 02]. Centrée sur la géographie, l'UMR ESPACE a, depuis une dizaine d'années développé une forte politique d'ouverture pluridisciplinaire, avec notamment l'intégration, en 2003, d'un nouveau site, interdisciplinaire (Aix-Marseille 2 et l'antenne d'Arles). Depuis sa création, l'approche développée sur le site arlésien consistait à étudier les relations homme – nature en articulant analyses diachroniques et dynamiques sociales actuelles. Ces recherches appréhendaient l'environnement comme un objet interdisciplinaire relevant à la fois des Sciences de l'Homme et de la Société et des Sciences de la Nature , mais la géographie faisait défaut au sein de l'équipe. Grâce à cet élargissement de l'UMR ESPACE, ce sont aujourd'hui six disciplines différentes qui sont impliquées : géographie, sociologie, psychologie, anthropologie, histoire et écologie. Chez les sociologues de l'UMR ESPACE, certains membres de l'équipe, notamment Bernard Picon , ont ainsi fait partie des pionniers dans le domaine en formant dès 1978, de jeunes chercheurs à cette problématique. Les publications des différents membres de ce groupe de travail révèlent à ce titre leur longue expérience dans le domaine de l'environnement sur le terrain français comme à l'étranger (cf. Bibliographie infra ). En conséquence, la décision de donner à l'UMR ESPACE un rattachement secondaire au Département Environnement et Développement Durable du CNRS découle d'une volonté de construire une interdisciplinarité au sein des SHS et entre SHS et SVU.
Continuité et innovation Ce groupe de travail a pour objectif de réunir ces six disciplines afin qu'elles développent ensemble une réflexion sur leurs collaborations passées, en cours et à venir. Il s'agira de fournir un cadre théorique et des outils méthodologiques pour les membres du groupe, mais aussi de se donner les moyens de transférer cette expérience à d'autres équipes de recherche, en France comme à l'étranger afin de favoriser la mise en œuvre de recherches interdisciplinaires dans le domaine de l'environnement. A l'heure où les grands programmes de recherche nationaux et internationaux se font de plus en plus demandeurs de projets interdisciplinaires, ce groupe de travail investit ici une problématique centrale qui conditionne l'avenir de la recherche.
Composition du groupe
Références citées [AUG 95] AUGOYARD J-F. (1995), « L'environnement sensible et les ambiances architecturales », L'Espace géographique , n°4, pp. 302-318. [CHA 96] CHARRE J. (1996), « L'humain et l'inhumain ; le naturel, le physique et le social. A la recherche de l'espace perdu », GEOPOINT 96 Espace et nature dans la géographie aujourd'hui , pp. 91-93, Groupe Dupont. [DAG 97] DAGORNE A. (1997), « Aménagement et gestion du système littoral azuréen dans une perspective de co-développement soutenable », Annales de géographie de Beyrouth , vol 18, pp. 83-112. [DAG 98] DAGORNE A., (1998), Le système littoral maralpin entre aménagement et ménagement de l'environnement, le co-développement soutenable. L'exemple de Nice , Laboratoire d'analyse Spatiale, Nice, 270p. [DAU 79] DAUPHINE A. (1979) « Le concept d'environnement », Analyse Spatiale Quantitative et Appliquée , n°8, pp. 25-34. [DAU 96] DAUPHINE A. (1996) « Les relations aménagement du territoire – environnement », In Mélanges offerts à Maurice Julian, Analyse Spatiale Quantitative et Appliquée , pp. 275-279. [DUB 01] DUBUS N., CHAMUSSY H. (2001), « Géographie et outil d'aide à la décision pour l'aménagement socio-environnemental », actes du Colloque Environnement et Aménagement : Réflexions et méthodes, Annales de géographie de l'USJ . [GAR 87] GARDIN J.C. (1987), « Vers une épistémologie pratique en sciences humaines », dans J.C. GARDIN et al. La logique du plausible : essais d'épistémologie pratique , Paris, Maison des Sciences de l'Homme, pp. 27-100 (Première édition 1981). [GUI 91] GUIGO M., ALLIER C., CHAPOT A., CHAPOT-BLANQUET M., DAUPHINE A. (1991), Gestion de l'environnement et études d'impact , Masson Géographie, Paris, 231 p. [GUI 02] GUIGO M., VOIRON-CANICIO C., DUBAR M., CHERY J-P. (2002), Modélisation du fonctionnement d'un hydrosystème et d'un anthroposystème de montagne : le bassin du Var , PEVS MOTIVE, 83p. [STE 93] STENGER I. (1993), L'invention des sciences modernes , Paris, La Découverte. [TIS 93a] TISSIER J-L. (1993), « Pratiques et représentations du rapport homme/nature depuis la Renaissance » In M.-C ROBIC, dir. Du milieu à l'environnement . Paris : Economica. [TIS 93b] TISSIER J-L. (1993), « La géographie dans le prisme de l'environnement » In M.-C ROBIC, dir. Du milieu à l'environnement . Paris : Economica.
Bibliographie complémentaire sélective des membres du groupe de travail Allard P . (1997), « Temps naturel et temps social en Camargue », Les temps de l'environnement , Publication de l'Université de Toulouse Le Mirail, CNRS, pp. 17-20. Allard P., Bardin , O., Barthélémy C., Pailhès S., & Picon B. (2001) , « Eaux, poissons et pouvoirs. Un siècle de gestion des échanges mer-lagune ». Natures Sciences Sociétés, 9 , n°1, pp. 5-18. Aznar J.C., Dervieux A., Grillas P . (2003), « Association between aquatic vegetation and landscape indicators of human pressure » : Wetlands , v. 23, pp. 149-160. BLEY D. (2005), Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien , éditions EDISUD, 280p. BLEY D. (2004), « L'interdisciplinarité au CNRS : témoignage d'un chercheur sur la réforme des sections (1991-2003) », NSS , 1. BLEY D., VERNAZZA-LICHT N. (2005) « Villes et qualité de vie » in Villes et Environnement, E. 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MAIGNANT G., (2005), « Incertitudes dans l'évaluation des immissions de polluants en milieu urbain, analyse de sensibilité à partir du logiciel STREET », Actes du colloque « Incertitude et environnement », 9 p., à paraître. MAIGNANT G., (2000), « La percolation, un modèle de simulation de diffusion de polluants en milieu urbain », In Les innovations des éco - industries, la recherche publique en environnement , Paris, Economica, Coll. Environnement et Technique, pp. 191-192. MARTIN Ph., (1991), « Diversité de fonctionnement et faible pollution actuelle des aquifères du karst de la Sainte Baume ; B. du Rh., Var ; France ». Colloque géologie et santé, Toulouse 14-17 mai 1991, actes du colloque, BRGM Orléans, pp. 178-191. MARTIN Ph., (1998), « Possibilité d'alimentation en eau de la population romaine de Nîmes par la Fontaine de Nîmes et la Fontaine d'Eure (Uzès, Gard) ». Actes du colloque : « Géomorphologie quantitative et paléogéomorphologie dans le domaine méditerranéen » in Études de géographie physique CAGEP-URA 903 du CNRS Aix en Provence éditeur, suppl. n°XXVII, pp. 71-91. MARTIN Ph. (2003), « Construire un objet géographique. Recherche d'une méthodologie », In Objets et indicateurs géographiques sous la direction de J. MABY, Collection Actes Avignon n°5, Université d'Avignon et UMR ESPACE 6012 du CNRS éditeurs, p. 42-88, 13 fig., 1 graphe. Texte en ligne sur les sites : http://www.umrespace.org et http://www.geo.univ-avignon.fr . PICON B. (1988), L' espace et le temps en Camargue , Actes-Sud, Arles (Première édition 1978). PICON B. (2002), « Sociologie et environnement, 25 ans d' experiences interdisciplinaires », Europaea, 1-2-anno 8-2002. Picon B., Allard P., Claeys-Mekdade C., Killian S. (2006), Gestion du risque inondation et changement social dans le delta du Rhône , Ed CEMAGREF, Paris. |
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